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La question 1ere qu’on s’est posé en tant que psychiatre du public, c’est ‘ pourquoi les stars se détruisent comme quelques de nos patients les plus démunis ainsi qu’elles ont à priori tout pour elle ‘. Ce bizarrerie questionnait notre technologie et nos hypothèses et rien dans la littérature médicale ne semblait être à même y répondre. Les célébrités et les héros peuplent notre virtuel depuis toujours. Cette amour est ambivalente, car derrière, se cache un souhait d’acheter et de faiblir l’idole.
Une pourquoi traditionnelle en psycho propose un effet d’association inspiré. ceci est basé sur l’observation que de nombreuses personnes essayent de conserver des documents des moments essentiels de leur vie. On peut imaginer la 1ère dent de cocktail, aux albums photos, à des chaussures à l’unisson parmi quelques exemples milieu d’une palette infinie d’alternatives. Dans ce cas, l’achat d’un ballon disposant relevé à une notoriété qui a influencé notre vie ne serait rien de plus qu’une tentative d’attacher la évocation de cette personne à une forme représentative qu’il est possible de conserver avec soi. Une second cause, plus vériste, nécessite aussi d’être examinée. Le prix des déguisement pourrait simplement être décidé par un équilibre entre commerce du marché des vente publique. Les obtention d’une popularité sont, par définition, distincts et donc extrêmement exceptionnel. Cette particularité est acceptable pour faire améliorer de façon explosive le montant d’un objet qui devient un investissement financier.
Amanda Seyfried ( Mamma Mia !, Time Out ), en psychothérapie pour porte d’angoisse après sa irrésistible célébrité. Kirsten Dunst choisie par Lars von Trier pour incarner l’héroïne dépressive de Melancholia, « du fait que la problématique lui était psychologies ». Carrie Fisher ( Star Wars ), bipolaire commun, comprenant la publicité des électrochocs dans Shockaholic, sa dernière présentation… Depuis peu, la liste des personnes célèbres qui avouent leurs bobos psys se remplit au minimum aussi vite que la tente des thérapeutes qui les traitent. « Nous connaissons tous un coup de déprime, à un moment ou un autre. Mais nous avons habituellement honte d’en parler. Je ne jugerai une personne qui traverse ce genre de passage à vide », a ces temps derniers juré Kirsten Dunst au annuaire Flare, trois ans après son moment à la clinique Cirque Lodge où elle avait été crue pour dépression. Lindsay Lohan et Eva Mendes l’y avaient précédée.
N’oublions pas que la popularité, à l’inverse à la célébrité, est née de la rencontre de la démocratie et de la de consommation. La popularité n’est alors plus l’apanage des rois, des aventuriers ou des chefs de guerre, désormais chacun peut prétendre à son quart date de popularité comme le prophétisait Andy Warhol les années 70. Les prochains médias comme internet et les jeux télévisés dits de ‘ télé-réalité ‘ ont rendu cette idée extrêmement sensationnelle. Le métaphysicien Roger Caillois écrivait déjà en 58 quelle valeur le hasard est présent lors de la date des vedettes et combien cette ‘ occase inouïe ‘ était positif au concept même de la célébrité[1]. En effet tous en regardant sa chéri peut rêver et se prétendre : ‘ Un jour ce sera moi sur cet écran. ‘ Dans une entreprise qui marche au réclame, voilà un virtuose qui peut toucher semble-t-il le premier survenu ; une réussite intimidant qui peut être réservé au plus enfoncer ou au plus pauvre. En cela, la popularité bafoue la échelon se trouvant, invalide la futur que sa condition fait peser sur chacun. La démocratie et la notion de concrétisation de soi sont appartement de la partie.
L’arnaque. Le drame des vedettes. De Johnny Hallyday à la femme du King, Liza Marie Presley, en passant par Benjamin Castaldi et Isabelle Adjani, multiples sont les personnalités qui ont eu affaire à des escrocs du genre sebastien Madoff ou Christophe Rocancourt. On pense aussi à l’ancien double sportif de l’univers de pugilat Christophe Tiozzo ou à la skieuse française la plus titrée des origines en Coupe du monde, Carole Merle, qui ont laissé leur fortune entre les mains d’arnaqueurs. Par le biais de placements téméraire de la part de «gens de confiance», l’un comme l’autre se sont retrouvés, du jour à plus tard, avec 2 milliards d’euros de dettes ( regarder ci-contre ).
Explication la plus évidente : nous autres individus aimons vivre par procuration; nous identifier aux modèles plus riches, plus communes, plus beaux et plus utilisés que le restant de notre espèce. Qu’elle soit formulée en termes de contrevent, d’admiration ou de persiflage, la penchant pour les stars est tout d’abord une projection : nous tentons d’imaginer ce que ce serait de vivre la vie plus simple et plus plaisant. Ainsi la vie de désir de Charlie Sheen correspond-elle aux besoins de très loin d’entre nous, qui désirent s’affranchir des règle bourgeoises. Partir en weekend aux Bahamas sur un jet en comité restreint entouré de jolies célébrités du porno, remplir une paquet de briques de sniff, livrer pâturer votre patron : face à un tel conduite, le «quelle pudeur ! » n’est jamais très loin du «si seulement c’était moi…».
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