Source à propos de kinésiologie Paris
La kinésiologie est née dans les années 60 aux Etats-Unis, sous l’impulsion du Dr George Goodheart, le premier chiropracteur ayant travaillé pour le comité médical olympique. D’après lui, les muscles reflèteraient nos émotions et notre état de santé. Un manque de tonus du corps peut ainsi révéler du stress, un choc ancien ou le fonctionnement médiocre d’un organe spécifique. Le base est par conséquent d’identifier cette perte de tonus et ce qui la attise, via un test manuel. Puis le praticien tente de la corriger, afin d’améliorer l’organisation de l’organe « lié » au ou de coucher des blocages émotionnels. dans ce but il peut chercher plusieurs méthodes empruntées à de multiples médecines soyeuses. Parmi elles on retrouve notamment l’émulation des points d’acupuncture, onéreux à la médecine traditionnelle chinoise…
. Cette méthode rassemble un ensemble de techniques venant de différents domaines psycho-émotionnel, structurel, nutritionnel, énergétique et neurologique. Pour les kinésiologues, cette technique permet notamment de maintenir ou de retrouver la forme, d’être en meilleure forme physique et psychique, de reuissir à garder un équilibre face aux conditions de vie et de travail, de libérer et mieux gérer le stress quotidien. Elle concerne ainsi à optimiser le capital « ressources personnelles » avec l’accompagnement d’un thérapeute, afin de résoudre les difficultés existentielles et de panser certaines maladies.
Certains mouvements du corps peuvent stimuler l’écoute, la lecture, la gestion, la mémorisation… Et aussi permettre d’évacuer le stress avant un examen. Avec la Brain Gym, vous aidez vos neurones à travailler ! Le chercheur Paul Dennison, propose donc d’employer le corps afin de apprendre. Voici les mouvements tirés de l’ouvrage ‘ Brain Gym, le changement, clé de l’apprentissage ‘ de Paul et Gail Dennison. Précisons qu’ils peuvent aider des élèves de tout âge : enfants, ados, élèves et même femmes… Ne vous dites donc pas qu’ils sont trop simples, testez… Ce commun éducatif a mis au point 26 mouvements simples qui ont chacun leurs bienfaits. Certains aident à libérer les tensions dans le but de se concentrer. D’autres avantagent l’assimilation et la mise en mémoire en stimulant les deux hémisphères du cerveau, d’autres encore peuvent aider à mieux parcourir ou à équilibrer les émotions…
Plus tard chez l’enfant ou l’adulte, ces mémoires inconscientes peuvent être réactivées à l’appel d’événements qui entrent en résonance avec elles. Plus tard, chez l’enfant ou l’adulte, cette empreinte, ces mémoires inconscientes peuvent se exprimer dans le présent ( scolarité, carrière, relations aux autres… ). L’objectif est de prendre conscience de ces schémas et de diminuer le stress associé à ceux ci. Retrouver le moment d’un stress in utero et ( re ) connaitre les interprétations fœtales, avec quelques fois la compréhension des exigences familiales, permet à la personne ou au bébé d’aborder sa vie autrement. Les périodes que sont la création, la vie utérine, la naissance, peuvent être des instants de changement stressant et le but est de dégager les stress qui peuvent avoir été enregistrés.
la méthode d’intégration cérébrale One Brain® – Three in One Concepts® a été développée par, Gordon Stokes, Candace Callaway et Daniel Whiteside. La leçon la plus conséquente qu’ils nous enseignent est que nous avons probablement, en chacun de nous, les solutions aux défis que la vie nous offre et que nous voyons trop souvent comme des problèmes. Face à ces défis, certains reussissent à prendre du recul, à modifier leur façon de voir les choses et à moduler leur stress, y compris physiologique. C’est cette capacité à percevoir les choses différemment que cherchent à solliciter la plupart des techniques de réduction du stress. Pour stimuler cette capacité, la méthode One Brain® utilise une plateforme inégalable : le langage des groupes de muscles. Lorsque nous percevons une situation comme menaçante, notre organisme réagit pour démarrer en se préparant à lutter ou à fuir. On note surtout un changement immédiat du tonus musculaire. D’où des séquences comme ‘j’en ai les jambes coupées’.
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